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Communique de presse :

Le lundi 7 septembre 2015 lors de la reprise du procès, devant les actes de brutalité des forces de l'ordre qui forçaient le Président Habré à comparaître, de nombreux membres de sa famille ,de jeunes étudiants et élèves ont exprimé leur indignation devant les abus et les mauvais traitements . En criant dans la salle.

Des militaires positionnés au sein du palais de justice les ont frappés avec des matraques électriques, avant de les expulser,de les conduire au commissariat de Thiong où ils sont toujours en prison .

Il s'agit de: Bechir Hissein Habré, Guihini Moussa Habre, Salah Habré, Brahim Habré,Ouardougou Hamid Habré, Habré Rozi Oroley, Hissein Guihini,Abakar Wouagni, Hassan Koreï Togoï,Issa Barkaï Kogri,Abakar Bichara, Hissein Bichara.

Des actes de brutalité mais aussi d' intimidation pour étouffer leur capacité d'indignation face à cet océan de tragédie morale dans lequel baignent ceux qui gérent l'affaire Habre.

Quand des forces de l'ordre frappent des jeunes de 15 ans avec des matraques électriques, ce sont des actes de désespérance d'une élite mise à nu, sans conscience et qui a vendu son âme, pour trouver refuge dans des actes d'humiliation sur de jeunes adolescents.

Les CAE ont annoncé avoir conclu un contrat privé avec la police pour faire la police d'audience au sein du palais de justice.

Voilà pourquoi systématiquement les éléments affichent leur hostilité, leur brutalité, leur refusant le droit de brandir des pancartes là où l'équipe de Reed Brody se déploie sans problème, il est vrai qu'ils sont eux, du côté, de ceux qui ont privatisé la police sénégalaise et l'ont positionné sur le chemin des brimades contre de jeunes adolescents..

CELLULE DE COMMUNICATION


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